PARIS NOISE FESTIVAL, Today is the Day, Genghis Tron...
Publié : lun. mai 19, 2008 8:27 am
allez hop, des mercis, des mercis, et re des mercis.
En fait, c'est vrai, c'est impossible de tout voir, alors si j'ai, comme prévu, profité de Horse The Glande pour manger (miam miam le resto au-dessus, au passage), j'ai connement loupé du groupe à côté. Merdum pour Tanen (cause blabla avec Mr merch de Today is the day) et FQM (cause descente de bière trop lente et mauvaise gestion de mon timing...), dont j'adore pourtant l'album.
Bon Nachtmystum, 5 min m'ont suffi, ça m'a gonflé...
le reste... juste...
Chapeau bas pour les timings respectés, pour la sympathie des groupes (Yog, Tanen, Genghis Tron, mortels ! ), et surtout pour ce son de malade quasiment du début à la fin.
Yog, je n'en vois que la fin, ça fleure bon le chaos d'entrée de jeu, nerveux, précis, foutrement joyeux, braillements avec grand sourire. ça commence fort...
Fiend... Rhaaa, le premier titre m'a laissé déçu, avec chant quasi-inaudible, jeu de scène trop statique. Puis, lentement, sûrement, on entre dans le son, c'est extrêmement bien foutu, influs Sleep/Om meets Unsane, mais encore un peu différent, plus rock ici, plus nerveux là, avec un batteur excellent, toujours bien placé au bon moment.
Puis grosse claque : Complete Failure
Aucune logique, trois mecs pour la pire des pures audio-anarchies, et un batteur HALLUCINANT. le tshirt Soilent Green du chanteur est bien porté, il y a de cette crasse-là dans la voix et le look. Grind anarchique signé par S. Austin, c'est forcément timbré, forcément bizarre, forcément sans queue ni tête (non mais sérieux, riffs/chant/batterie, rien à voir, tu piges rien), forcément sale, et forcément très bon.
ha tiens, re-grosse tarte (pour une - très - petite partie d'entre nous, si je me souviens bien), avec son surmassif (on ose imaginer ce que ça rend avec le mur d'amplis, aux Etats-Unis), avec Jucifer, qui prend le pari de ne quasiment rien jouer d'albums, ou alors de le réadapter. Résultat : un concert en saturations et gros coups de butoirs, tacoutacoutac, plans über lourds (dans le bon sens du terme). Putain, que j'ai tripé bon sang, cette énergie, ce bordel mis à deux, ce bout de femme qui hurle et s'excite sur sa gratte, son mec de batteur qui en fout partout, et le tout pour un couple ma foi fort sympathique et souriant. C'est d'la bombe bébé
Genghis Tron... bizarrement, sur scène, le retour fréquent des samples, plus ou moins au même endroit, sur les titres du dernier album aura un peu eu raison de moi sur scène.C'est à dire que si j'ai adoré, j'ai quand même eu l'impression d'entendre 5 ou 6 fois le même titre, surtout sur la fin. mais ça reste gentillet, parce qu'honnêtement, j'ai trouvé ça terrible, avec son excellent, pure voix, jolis effets de lumières avec leurs barres de néon, des titres de Dead Mountain Mouth absolument jouissifs, une pure énergie. Miam, miam, re-miam, mais moins miam que les deux groupes juste au dessus.
Horse The Band.. les lasagnes végétariennes là-haut sont vachement bonnes.
Today Is The Day.
Heu.
bah. ok, claque, claque, re-claque, dès l'arrivée devant, je braille, chante tout ce dont je me souviens, pète une durite (paraît que jonjon a plusieurs fois eu peur de prendre mon coude dans la tempe), ils ont eu la bonne idée de piquer le batteur de Complete Failure, terrible, un bassiste que je ne connais pas (bah, j'croyais que c'était "Dixie" Dave Collins moi ? Ce n'était pas lui là, je n'ai pas rêvé hein ?), et évidemment Steve Austin furieux, toutes veines reluisantes hors du cou, complètement dans ses textes, as usual, visiblement bien heureux d'être là et de l'accueil. (d'ailleurs, il aura bien su reconnaître ses bonnes ouailles dans le public, fidèles à sa prêche, possédés par le son divin
)
Set-list variée, terrible, Austin sortant encore et encore la grosse voix, et toujours ce batteur qui en fout partout quasiment sans bouger, un son étonamment excellent, des riffs à décorner le prmeier diablotin venu, un public sage (sauf 2 ou 3 cas isolés
), encore Austin qui braille, ici Austin qui pose sa douce ballade, plus synonyme de marche funèbre qu'autre chose, ni juste ni fausse mais on s'en bat la couille, il est possédé ce mec, timbré, illuminé peut-être, mais foutrement doué. Dieu, que c'était bon !!
encore, encore !!
hellfest, furia sound festival, je n'en manquerai pas une miette.
Virgil, pas moyen j'espère que tu ne t'es pas ramassé, la même l'an prochain, super initiative, super son, super tout, merci mec !

En fait, c'est vrai, c'est impossible de tout voir, alors si j'ai, comme prévu, profité de Horse The Glande pour manger (miam miam le resto au-dessus, au passage), j'ai connement loupé du groupe à côté. Merdum pour Tanen (cause blabla avec Mr merch de Today is the day) et FQM (cause descente de bière trop lente et mauvaise gestion de mon timing...), dont j'adore pourtant l'album.
Bon Nachtmystum, 5 min m'ont suffi, ça m'a gonflé...
le reste... juste...

Chapeau bas pour les timings respectés, pour la sympathie des groupes (Yog, Tanen, Genghis Tron, mortels ! ), et surtout pour ce son de malade quasiment du début à la fin.
Yog, je n'en vois que la fin, ça fleure bon le chaos d'entrée de jeu, nerveux, précis, foutrement joyeux, braillements avec grand sourire. ça commence fort...
Fiend... Rhaaa, le premier titre m'a laissé déçu, avec chant quasi-inaudible, jeu de scène trop statique. Puis, lentement, sûrement, on entre dans le son, c'est extrêmement bien foutu, influs Sleep/Om meets Unsane, mais encore un peu différent, plus rock ici, plus nerveux là, avec un batteur excellent, toujours bien placé au bon moment.
Puis grosse claque : Complete Failure
Aucune logique, trois mecs pour la pire des pures audio-anarchies, et un batteur HALLUCINANT. le tshirt Soilent Green du chanteur est bien porté, il y a de cette crasse-là dans la voix et le look. Grind anarchique signé par S. Austin, c'est forcément timbré, forcément bizarre, forcément sans queue ni tête (non mais sérieux, riffs/chant/batterie, rien à voir, tu piges rien), forcément sale, et forcément très bon.

ha tiens, re-grosse tarte (pour une - très - petite partie d'entre nous, si je me souviens bien), avec son surmassif (on ose imaginer ce que ça rend avec le mur d'amplis, aux Etats-Unis), avec Jucifer, qui prend le pari de ne quasiment rien jouer d'albums, ou alors de le réadapter. Résultat : un concert en saturations et gros coups de butoirs, tacoutacoutac, plans über lourds (dans le bon sens du terme). Putain, que j'ai tripé bon sang, cette énergie, ce bordel mis à deux, ce bout de femme qui hurle et s'excite sur sa gratte, son mec de batteur qui en fout partout, et le tout pour un couple ma foi fort sympathique et souriant. C'est d'la bombe bébé
Genghis Tron... bizarrement, sur scène, le retour fréquent des samples, plus ou moins au même endroit, sur les titres du dernier album aura un peu eu raison de moi sur scène.C'est à dire que si j'ai adoré, j'ai quand même eu l'impression d'entendre 5 ou 6 fois le même titre, surtout sur la fin. mais ça reste gentillet, parce qu'honnêtement, j'ai trouvé ça terrible, avec son excellent, pure voix, jolis effets de lumières avec leurs barres de néon, des titres de Dead Mountain Mouth absolument jouissifs, une pure énergie. Miam, miam, re-miam, mais moins miam que les deux groupes juste au dessus.
Horse The Band.. les lasagnes végétariennes là-haut sont vachement bonnes.
Today Is The Day.
Heu.
bah. ok, claque, claque, re-claque, dès l'arrivée devant, je braille, chante tout ce dont je me souviens, pète une durite (paraît que jonjon a plusieurs fois eu peur de prendre mon coude dans la tempe), ils ont eu la bonne idée de piquer le batteur de Complete Failure, terrible, un bassiste que je ne connais pas (bah, j'croyais que c'était "Dixie" Dave Collins moi ? Ce n'était pas lui là, je n'ai pas rêvé hein ?), et évidemment Steve Austin furieux, toutes veines reluisantes hors du cou, complètement dans ses textes, as usual, visiblement bien heureux d'être là et de l'accueil. (d'ailleurs, il aura bien su reconnaître ses bonnes ouailles dans le public, fidèles à sa prêche, possédés par le son divin

Set-list variée, terrible, Austin sortant encore et encore la grosse voix, et toujours ce batteur qui en fout partout quasiment sans bouger, un son étonamment excellent, des riffs à décorner le prmeier diablotin venu, un public sage (sauf 2 ou 3 cas isolés

encore, encore !!
hellfest, furia sound festival, je n'en manquerai pas une miette.

Virgil, pas moyen j'espère que tu ne t'es pas ramassé, la même l'an prochain, super initiative, super son, super tout, merci mec !
