CYNIC - Nouveau Casino - 05/07/07
Publié : ven. juil. 06, 2007 7:01 am
Il en aura fallu du temps pour enfin voir Cynic en live autrement que sur des vidéos amateurs inaudibles. Enfin j'ai pu voir Paul Masvidal et Sean Reinert, cela faisait partie de ma liste de choses à faire avant de mourir.
Je passerai sous un doux silence bien mérité le groupe qui a eu l'immense privilège d'ouvrir pour Cynic. Je pense que ce groupe est à Cynic ce que Edouardo est à Freddy Mercury, ou ce que Malevolus est à Emperor.
Arrivent donc enfin Cynic. L'entrée aurait pu être beaucoup plus triomphale, au lieu de cela, c'est en roadies que nous sont apparu les musiciens, le temps de finir d'installer le matériel et de faire la balance... bizarre que ça n'ait pas été fait avant, mais bon.
Enfin ça démarre avec Veil of Maya. D'entrée ça joue! Reinert est monstrueux, Masvidal est parfait. Seul le son est à la ramasse, la section rythmique couvrant largement le reste.
Au fur et à mesur du set, le son ira en s'améliorant, et l'intensité avec. On pourrait disserter longtemps sur l'utilisation du chant death pré-enregistré, d'autant que la prestation de Bret - chanteur de Kalesia, et vainqueur du concours Cynic pour aller chanter Uroboric Forms avec le groupe sur scène - a été plus que convaincante sur la nécessité d'embaucher un chanteur death, tant cela donnait une grosse patate en plus et une dynamique scénique à Cynic.
D'ailleurs, pourquoi pas embaucher un guitariste-chanteur pour remplacer le deuxième gratteux du groupe? En effet, si un seul élément n'était pas à la hauteur, c'était lui. Autant sur les parties rythmiques y'avait pas de soucis, mais sur les soli de Jason Gobel, y'avait plus personne, c'était un genre de gelée de doigts sur une tartine de manche où il était dur de distinguer le solo original de Gobel. Passons ce détail.
Les titres se sont enchainés, on a eu droit à tout Focus évidemment, leur nouvelle chanson, Evolutionnary Sleeper, que personnellement je n'ai pas trouvé exceptionnelle, un morceau de Portal, et une reprise somptueuse du Mahavishnu Orchestra qui a eu raison de la culotte de mon voisin de gauche, et un How Could I en rappel qui nous a bien achevé.
Je n'ai qu'une hâte, c'est de les revoir, et aussi d'écouter leur prochain album, puisque la rumeur court qu'il est en préparation...
Je passerai sous un doux silence bien mérité le groupe qui a eu l'immense privilège d'ouvrir pour Cynic. Je pense que ce groupe est à Cynic ce que Edouardo est à Freddy Mercury, ou ce que Malevolus est à Emperor.
Arrivent donc enfin Cynic. L'entrée aurait pu être beaucoup plus triomphale, au lieu de cela, c'est en roadies que nous sont apparu les musiciens, le temps de finir d'installer le matériel et de faire la balance... bizarre que ça n'ait pas été fait avant, mais bon.
Enfin ça démarre avec Veil of Maya. D'entrée ça joue! Reinert est monstrueux, Masvidal est parfait. Seul le son est à la ramasse, la section rythmique couvrant largement le reste.
Au fur et à mesur du set, le son ira en s'améliorant, et l'intensité avec. On pourrait disserter longtemps sur l'utilisation du chant death pré-enregistré, d'autant que la prestation de Bret - chanteur de Kalesia, et vainqueur du concours Cynic pour aller chanter Uroboric Forms avec le groupe sur scène - a été plus que convaincante sur la nécessité d'embaucher un chanteur death, tant cela donnait une grosse patate en plus et une dynamique scénique à Cynic.
D'ailleurs, pourquoi pas embaucher un guitariste-chanteur pour remplacer le deuxième gratteux du groupe? En effet, si un seul élément n'était pas à la hauteur, c'était lui. Autant sur les parties rythmiques y'avait pas de soucis, mais sur les soli de Jason Gobel, y'avait plus personne, c'était un genre de gelée de doigts sur une tartine de manche où il était dur de distinguer le solo original de Gobel. Passons ce détail.
Les titres se sont enchainés, on a eu droit à tout Focus évidemment, leur nouvelle chanson, Evolutionnary Sleeper, que personnellement je n'ai pas trouvé exceptionnelle, un morceau de Portal, et une reprise somptueuse du Mahavishnu Orchestra qui a eu raison de la culotte de mon voisin de gauche, et un How Could I en rappel qui nous a bien achevé.
Je n'ai qu'une hâte, c'est de les revoir, et aussi d'écouter leur prochain album, puisque la rumeur court qu'il est en préparation...